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La plupart des photos ci contre sont issues d’un travail de sélection via Démographie Responsable
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Les politiques sont plus dangereux que la démographie, puisqu’ils privilégient l’économie en occultant tous les problèmes à venir.
Avec le mot dollar on peut cacher le problème climatique, le manque de ressources des décennies à venir, ils ne pensent qu’en terme de croissance, sur un monde fini, et qui va surement finir si on ne freine pas.
bonjour, Merci Multis de votre riche contribution à cette démarche vitale de prise de conscience collective. Vitale en effet car cette prise de conscience doit se généraliser sans attendre un « élu » providentiel empreint de courage, de clairvoyance et d’un charisme propre à hypnotiser tout un peuple. Solidairement,
Merci Thomas pour la solidarité ; A priori l’élu providentiel ne pourrait pas être élu sur un thème aussi peu partagé par ses électeurs ; Charge à nous d’en parler autour de nous..
L’humain, le fléau de l’humanité ! Quel est le comble du comble ? Plus nous sommes nombreux, plus nous sommes individualistes ! Je ne participerais pas à cette destruction programmée, je ne ferais pas d’enfant car j’adore la planète et les autres êtres vivants.
C’est bien vrai ! De plus en plus individualistes et exigeants (dans nos sociétés occidentales) ;
Mais si on ne doit plus avoir d’enfant parce que d’autres en ont beaucoup, c’est triste pour nous ; Voir onglet « Que faire » En fait, ce serait la fin de beaucoup de libertés individuelles éteintes par la loi du nombre. ; Et renoncer à avoir des enfants serait une liberté de plus qui s’éteint
Cf. « un droit contre tous les autres » de Didier Barthes
Allons allons soyons réaliste, ce que vous dites est encore de l’individualisme. Je ne pense pas qu’à l’espèce humaine moi…. C’est « je veux une nouvelle voiture comme je veux un enfant ! Un vrai caprice d’adulte ! Dans un monde où la quasi-totalité des éléments sont pollués et les espèces disparaissent, vous pensez que c’est un cadeau à leur faire ça ? Et ça n’a rien de triste de ne pas avoir d’enfant, ce n’est pas une obligation.
Quelle honte incommensurable j’ai de faire parti de l’espèce humaine!! En dehors des enfants, plus de 85% des anciens enfants sont devenus un fléau !!!
Sérieusement, doit on ne plus avoir d’enfants parce que d’autres en ont trop ? Du coup continuer avec une empreinte élevée puisque d’autres ont une empreinte faible ; Il n’y a pas d’équilibre en opposant des extrêmes, il vaut mieux converger vers du durable et défendable pour tous
Et du point de vue du défendable, une position « sans enfant » consisterait à se mettre à dos la plupart des hommes ; Le libre choix raisoné me va mieux
Avec des idées comme les vôtres, c’est vraiment sans espoir !!! Je vous conseil de regarder la définition du mot « égoïste »….
J-Y R. voit un lien important entre le capitalisme et la surpopulation. Dans un contexte de capitalisme avéré, « les populations pauvres des différentes civilisations vont trouver refuge dans….la prolifération. Une prolifération induite directement par ce capitalisme sentencieux et hypocrite. »
Je ne suis pas complétement convaincu ; En effet, si l’on prend l’exemple de l’Allemagne ou du Japon, 2 capitalismes rayonnant au niveau mondial et qui ont leurs lots de classes ouvrières, leur taux de fécondité est inférieur à 1,5
1 enfant il faut revenir 3 milliards castrer les queues en pomme d’arrosoir
Il est difficile d’agir collectivement quand le problème est ignoré, voir détourné ou nié. On ne pourra rien faire au niveau macro si nous ne sommes pas nombreux à se mobiliser sur ce sujet ; A court terme, il faut en parler, faire prendre conscience à d’autres, adhérer à des structures comme « démographie responsable » pour peser plus.
Par contre, contrairement à nos ainés visionnaires (Cousteau, Dumont, etc) qui nous ont alerté à temps dans les années 70, il y a aujourd’hui un passif d’extinctions récentes, de pollutions récurrentes, etc, qui corrobore ce constat de surpopulation mondiale.
Oui, l’homme est spéciste, comme certains sont racistes ou sexistes. Des fois je me dis que ce serait mieux si détruire les autres espèces était un but en soi, et non pas une conséquence ; Au moins, il y aurait les pour et les contres.. On saurait contre qui se battre ;
Mais là, malheureusement, on est plus dans l’insouciance, l’indifférence ou l’inconscience, qui à priori nous concernent tous jusqu’à ce que la prise de conscience en rattrape certains.
(NB :La religion et « après moi le déluge » sont évoqués dans les réponses aux objections 9 et 10.)
Bravo, c’est encore plus saisissant en diaporama! Comment ne pas voir que nous sommes au bord de la catastrophe?!
Très intéressant.
Dans le même genre, lire « Sapiens, une brève histoire de l’humanité » d’Harrari.
Oui, tout à fait. Bien sur, le livre « Sapiens » est d’une autre dimension, et c’est extraordinaire comment l’auteur nous fait entre autres participer à une évolution « objectivée » de l’homme sur la terre, avec des étapes irréversibles à chaque fois… pas forcément optimiste sur la suite.
Je fais référence au livre en page http://www.stop-population.com/graphiques-surpopulation-mondiale
Comment maîtriser la surpopulation? Comment gérer l’évolution de l’espèce humaine? Les solutions envisagées ou envisageables sont effrayantes: travailler aux 2 bouts de la chaîne, décourager la vie et encourager la mort, maîtriser entrées et sorties comme aux portes des musées, limiter les naissances et pousser mémé ds les orties de la mort pour que renaisse le corail et coule le miel. Imaginer un monde si régulé que de lui même l’homme aura envie de le quitter… éradiquer la pulsion de vie . Et qui gèrera le grand mécanisme de l’évolution contrôlée?
Oui, on est rendu à un choix entre régulation et laisser faire ; Ça fait penser à la conclusion de l’objection 6.
Mais je trouve la non-régulation plus effrayante, car elle agresse l’homme mais aussi toutes les autres espèces
A l’inverse, la régulation concerne surtout l’espèce responsable ; Le principe pollueur payeur qui devrait plaire aux écologiste
Qui gérera ? Il faut imaginer une gouvernance mondiale tôt ou tard, en espérant que le consensus à plusieurs permette à la fois la mesure et l’autorité. Sinon les « bien communs » de notre monde clos continueront à se dégrader au fil de notre irresponsabilité.
Les pays développés ont créé ces migrants économiques, et tant que 95% de la masse d’argent tournera dans le casino mondial au lieu de faire vivre l’humanité, à ces migrations s’ajouteront celles de guerres et les écologiques….
Je rêve d’être un dictateur « humaniste ».Si tel était le cas, j’imposerais un contrôle de la natalité assez féroce afin d’inverser cette courbe qui me fout les jetons. Taux à ZERO. Stérilisation à la naissance. Ni vu ni connu…. Humour noir ? Pas si sûr….
Oui, le coté dictateur est tentant; ça a le mérite de l’efficacité, au point ou nous sommes rendus ; Mais il y aurait débat sur le curseur ; Bon, en même temps c’est le dictateur qui choisit, c’est un peu le principe.
Oui, cela semble évident, une fois que l’on s’est arrêté pour y réfléchir… Si l’on a en tête le critère population et la courbe en cours depuis 150 ans, on ressent bien que les alertes écologiques sont toutes déclenchées ou amplifiées par notre surnombre, et que c’est sur la racine des maux qu’il faut réfléchir.
Le doigt pointe sur la cause -la surpopulation-, mais on regarde le doigt -les conséquences-